Corps objet, corps sujet

© Dr Joël Dehasse

Coach en développement personnel, Vétérinaire psy, Intervenant systémicien

Conférence donnée dans le congrès de Zoopsy de Leysin, en janvier 2007.
 

Introduction

A lire le titre, des images me viennent et, aussi, des questionnements sur des jugements de valeur : le sujet a-t-il plus de valeur que l’objet ? Mon imprégnation culturelle – et religieuse – me fait immédiatement penser au corps et à l’âme, au corps séparé de l’âme, le corps étant la partie matérielle, physique, alors que l’âme est la force qui l’anime. Même question : l’âme a-t-elle plus de valeur que le corps ? Peut-on séparer l’un de l’autre ?

 

Objet et sujet.

Il est intéressant de noter que l’étymologie du mot objet (qui vient du latin) signifie : « jeter, placer, présenter devant ». L’objet est la chose tangible, perceptible, concrète. On peut l’analyser avec tous nos instruments de mesure, le définir, en arrêter l’image.

L’étymologie du mot sujet, par contre, signifie « jeter, placer, présenter en dessous ». C’est la partie, non analysable, non définissable, toujours mystérieuse d’un être.

Nous avons ici un problème philosophique majeur. Le sujet est un concept obscur : le sujet est le thème d’étude du sujet lui-même. On ne peut pas échapper à l’autoréférence. L’étude du sujet échappe à l’objectivité et dépend de la vision du monde de chacun, de son modèle philosophique. Dès lors, le sujet reste définitivement mystérieux.

L’énigme du sujet peut faire douter de son existence même. Le concept de sujet peut dériver de l’organisation du bruit des pensées, elles mêmes une production intarissable du (cerveau du) corps objet. Cette hypothèse remet en question l’utilité des notions de responsabilité, de culpabilité, de dignité, de liberté, etc. Par contre, si on part du principe que le sujet existe[1], alors, ce sujet n’existe qu’en relation à un autre sujet[2]. C’est l’hypothèse que j’adopte dans cet article : l’être, animal ou humain, est constitué d’une partie objet objectivable (mesurable) et d’une partie sujet (énigmatique).

 

Les philosophies

La vision portée sur le corps dépend de l’appartenance philosophique. Toutes ces philosophies sont des modèles de vie. L’un n’est pas meilleur qu’un autre. A chacun de choisir celui qui lui convient.

L’épiphénoménisme matérialiste

 

Le modèle de vie matérialiste privilégie l’objet en tant qu’élément premier : c’est l’objet qui secrète le sujet Dans ce modèle, c’est le corps (cerveau) qui génère la pensée (comme le foie produit de la bile). Et le corps fonctionnerait très bien sans le bruit de la pensée. « L’individu est essentiellement une machine et accidentellement une conscience »[3]

L’être est soumis à son corps, sa génétique, sa biologie, ses instincts.

Si le sujet est secondaire à l’objet, il en est aussi, en corollaire, la victime. Victime de son corps, de son destin, des événements de la vie, l’être cherche à contrôler ces différents éléments pour se sécuriser et réduire ses souffrances. La souffrance et le bonheur viennent de l’extérieur.

Cette approche victimiste conduit au modèle comportemental (individualiste) dualiste : chaque comportement (sentiment, émotion…) a un déclencheur et n’est pas responsable de sa réaction (« C’est parce que tu as fait ça que je suis obligé de faire ça… »)

Le dualisme et le parallélisme

Dans le dualisme, cher à Descartes, il y a deux substances, le corps et l’esprit, en interconnexion étroite ; cette interconnexion crée une troisième substance qui est l’union des deux premières.

Dans le parallélisme, cher à Leibniz, le corps et l’esprit n’interagissent pas entre eux, mais chacun suit une séquence parallèle, dans une harmonie préétablie.

La primauté culturelle

S’il y a dualisme corps esprit, on peut décider de donner arbitrairement plus de poids à l’un qu’à l’autre. On pourrait considérer que l’esprit est supérieur au corps, qu’il le transcende. On pourrait considérer, également, que la plus grande réalisation de l’esprit de l’homme, c’est sa culture. Culture et religion sont intimement mêlés. Et la culture devient une entité à part entière, qui veut maintenir son existence. Les guerres de religion n’en sont qu’un exemple. Elles témoignent de la lutte de la culture (religion) pour sa survie.

La culture a pris le pouvoir sur l’être biologique et (individuel) subjectif.

Quel que soit le désir individuel, il est régi par des règles de société pour le bien de la société. La pensée collective domine la pensée individuelle et, aussi, le corps de l’individu. C’est, dans ce modèle, la survie de la société qui prévaut. En fait, c’est la survie de l’image que la société a d’elle-même.

Lorsque la société, le groupe quel qu’il soit, veut fixer son image et s’identifie à cette image, on risque la non-évolution, l’obscurantisme et les guerres de religion.

Cette approche est en relation avec le modèle systémique : chaque comportement d’un élément du système a pour effet un (changement d’)équilibre dans le système qui prévaut sur ses éléments.

Le spiritualisme

Dans l’approche (dite) spirituelle, l’esprit (le sujet) prédomine sur le corps (l’objet). Soit le sujet transcende l’objet, soit il est préexistant. Dans certaines approches spiritualistes, le sujet (la Conscience) est éternel et le corps est temporel. Dans cette approche ‘conscientualiste’, la Conscience est première, le corps est secondaire et apparaît comme un hologramme cristallisé de la Conscience[4] dans l’espace-temps.

L’esprit ne peut pas être localisé dans le corps ; l’esprit est en relation avec tout l’Univers. L’essence de cet esprit est infinie ; elle s’incorpore dans un corps qui est fini ; elle commence à souffrir de ses limitations, désire son infinitude et recherche à remonter à sa propre source, à l’Un.

En corollaire, le sujet est universellement responsable de sa vie ; rien (ni joie, ni souffrance, ni maladie, ni accident…) ne peut arriver sans son consentement, voire même, sans sa décision délibérée. Le sujet organise sa vie (sans en être mentalement conscient) afin de vivre des expériences qui lui permettront d’enrichir son Être.

Comme le sujet, limité à l’espace-temps, n’est pas conscient de sa Conscience (son esprit) illimité, il y a deux tendances : la première est le fatalisme et l’être est victime de son destin (de sa Conscience inaccessible) ; la seconde est l’accueil de sa responsabilité universelle : dans cette vision, le chemin n’est pas tracé d’avance mais se trace au fur et à mesure qu’on le parcoure.

Cette approche conduit aux nombreux modèles de développement personnel qu’on retrouve, entre autre, dans certaines formes de kinésiologie, mais aussi dans des approches philosophiques et magiques, comme décrite par Castaneda, par exemple.

L’approche quantique

J’appelle approche quantique une vision du monde spiritualiste dans laquelle l’autre n’est perçu (n’existe) que là où on s’attend à le percevoir. Si l’autre existe, on ne peut pas le voir tel qu’il est, mais seulement tel qu’on se le représente.

Cette approche se retrouve dans les textes du sorcier Toltèque Don Juan (Castaneda) mais aussi à Hawaï (approche Aloha). La physique quantique a démontré qu’une particule existait à de nombreux endroits en même temps mais n’était visible qu’à un seul endroit par un expérimentateur.

Dans cette approche, l’autre est un miroir de soi-même, de sa propre vision, de ses propres attentes. L’animal peut ainsi être un miroir de ses propriétaires. Par exemple : la crise de panique d’un chien dit-elle quelque chose sur le propriétaire ?

Il peut être amusant de constater ces miroirs et ce pourrait être pour le propriétaire une occasion de prise de conscience personnelle. Ceci relève du coaching humain.

 

L’incarnation

Notre expérience de la vie et de notre corps est subjective. Notre corps (physique) n’existe pour nous que dans le monde de la vigilance ; il n’existe pas pour notre conscience dans le sommeil profond et le rêve.

On peut chosifier le corps, le rendre analysable, comme un corps mort. Mais comme ce corps est vivant, il n’est pas limitable à l’objet, quel que soit notre désir de le chosifier, de l’identifier à une image.

Pour notre conscience, le corps vécu , incarné, est celui des sensations, pas le corps objet analysable par la science, pas non plus le corps image, représentation que je veux donner de moi à moi-même et aux autres.

Notre corps est le lieu de notre expérience humaine.

Ce corps apparemment peu changeant se renouvelle pourtant sans cesse.

« Quatre-vingt-dix-huit pour cent des atomes de l’organisme étaient absents un an auparavant. Le squelette qui semble si solide n’était pas le même trois mois plus tôt… La peau se renouvelle tous les mois. La paroi de l’estomac change tous les quatre jours et les cellules superficielles qui sont au contact des aliments sont renouvelées toutes les cinq minutes… C’est comme si l’on vivait dans un immeuble dont les briques seraient systématiquement remplacées chaque année. Si l’on conserve le même plan, il semble alors qu’il s’agisse du même immeuble. Mais en réalité, il est différent. » Le corps ne reste pas le même, il est perpétuellement dans le flux du changement. Or, malgré cette instabilité d’une rivière en mouvement, le corps ne s’effondre jamais comme une simple pile de briques, une intelligence maintient son intégrité, se charge de coordonner la transformation du flux, ce qui permet de dire, vu de l’extérieur (celui qui se regarde dans la glace), que le corps reste le même. « Pour  ce qui est de la permanence, le corps est solide et stable comme une sculpture figée. Pour ce qui est du changement, il est mobile et fluctuant comme une rivière ». Seulement, du point de vue du paradigme de la physique classique, c’est là un paradoxe insoutenable, car il est impossible de considérer en même temps ces deux points de vue. Ce serait considérer un même phénomène à la fois comme de l’ordre des choses (corpuscules) ou de l’ordre d’un flux (l’onde). De là suit que, parce que le concept d’objet solide est surtout intelligible du point de vue de la vigilance quotidienne, parce qu’il est en accord avec une vision linéaire de la causalité, qu’il est plus facile à l’esprit de penser le corps comme une sculpture figée, que comme un flux vivant. Il est plus simple de se représenter le changement comme une causalité linéaire, une cause engendrant un effet, dans une séquence qui lient les objets entre eux… Mais en restant dans ce modèle, on  oublie justement ce qui est étonnant dans le corps physique, la beauté du renouvellement constant du corps, du renouvellement qui se produit à chaque instant. [5]

Quel intérêt ?

Après tout ce blabla analytique et philosophique, quel peut bien être l’intérêt d’une réflexion sur le corps objet et le corps sujet ?

Mon intérêt personnel n’est pas de porter un jugement quelconque sur les opinions des uns et des autres, mais de prendre conscience des différences de visions sous-jacentes aux comportements de chacun face au corps.

Personnellement, j’ai envie de proposer au lecteur d’autres visions.

 

 

Corollaires

A partir de ces philosophies, on peut observer le monde de la relation entre les humains et leurs animaux de compagnie ou avec leurs semblables.

Je crois inutile de faire un relevé exhaustif de ces relations ; quelques exemples suffiront à illustrer l’idée.

 

Approche matérialiste

Elle s’accompagne d’une vision dualiste, causaliste et victimiste.

 

o        Le corps objet est la structure physique de l’être.

o        Le corps objet est le corps d’un être utilisé comme le serait un objet non vivant (non sensible) par un autre être

o        Le corps objet est toutes les parties objectivables de l’être.

Le corps objet est la structure physique de l’être

Limiter le corps à la structure physique, y compris moléculaire, d’un être, permet d’en simplifier a modélisation, surtout en médecine. Même le psychisme devient un sous-produit de la biochimie. La stratégie thérapeutique de choix sera de changer la biologie pour changer les comportements.

*      Sélection génétique, eugénisme, clonage…

*      Thérapeutiques biologiques : psychopharmacologie…

*      Chirurgie : lobotomie…

Le corps d’un être utilisé comme le serait un objet non vivant (non sensible) par un autre être

Il est difficile d’aborder ce sujet sans avoir le rappel de ses propres principes éthiques et moraux. Est-il éthique d’utiliser le corps d’autrui – et le sien – dissocié de ses parties sensibles, essentiellement de son bon vouloir, de son autonomie, de ses choix… ? C’est toute la dynamique de l’abus, de la maltraitance mais aussi celle de l’adoration.

*      Harcèlements, sexuels et autres

*      Politique raciale gouvernementale…

*      Femme objet homme objet, animal objet…

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Pour justifier parfois cette objectivation de l’être, on se vend des raisonnements logiques et, probablement, mensongers:

*      ‘Peluchisation’ : "je caresse mon chien parce qu’il aime ça". Ce chien était couché dans le divan et caressé par tous les membres de la famille. En 1h de vidéo, il avait peut-être 15 minutes sans contact physique. Et le chien devenait agressif. On imagine que le chien aurait très bien pu se soustraire à ces contacts et se coucher ailleurs, mais c’était la place de couchage imposée et, probablement, il n’était pas assez malin pour se trouver une autre place.

*      Utilisation de l’image femme objet, animal objet…) en publicité

*      Inférences de la pensée animale : il est impossible de savoir ce que pense un animal ; alors on modélise ses pensées en fonction de théories sur base de ses comportements, eux mêmes perçus à travers le filtre de la vision de l’observateur. L’idée de la hiérarchie chez le chien en est un exemple ; c’est une idée parfois fonctionnelle, qui donne plus d’information sur la vision de l’observateur que sur la pensée du chien.

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Le corps objet est toutes les parties objectivables de l’être

Le corps objet est tout ce que nous pouvons objectiver de l’autre ; c’est ce que nous percevons de l’autre. Cela inclut les analyses logiques (souvent infralogiques) de sa pensée, de sa sensibilité. C’est, si on veut, un objet qui inclut un sujet analysable par des procédures objectivables, compréhensibles dans des modèles spécifiques de compréhension.

C'est la réduction du monde à ce que l’on en comprend, à ce que l’on modélise. Mais peut-on seulement y échapper ?

*      Dans notre domaine de véto psy, c’est l’approche béhavioriste méthodologique, à laquelle on n’échappe pas. On aurait beau ouvrir la boite noire des éléments psychobiologiques (cognition, humeur, émotions…), on n’échappe pas à leur interprétation suivant un modèle d’objectivation.

*      Le choix d'un animal se fait le plus souvent par sélection sur une idée qu'on se fait de lui et non sur sa réalité; cette idée est objective puisqu'elle se réfère à des données modélisées, mais elle souffre de l'automensonge du modèle. Ensuite, plus (le comportement de) l'animal est  différent de l'idée (de l'attente) qu’on en avait, plus on consulte.

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Approche dualiste

L’approche dualiste (le duo corps esprit) implique un troisième élément qui est l’union, l’interconnexion, des deux précédents. Le tout est autre chose, voire supérieur, que la somme de ses parties.

C’est cette dernière idée que l’on retrouve dans l’approche systémique.

 

Dans l’approche culturelle, on peut faire certaines observations :

*      L’obéissance aux règles prime l’intuition et les désirs de l’individu : obéissance d’un thérapeute à des protocoles de traitement, obéissance d’un propriétaire à des idées collectives (dominance par exemple)…

*      L’obéissance aux autorités : nécessité d’observance du client des thérapies stéréotypées imposées par le psy…

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Approche spiritualiste

L’esprit sujet prévaut sur le corps objet. Dans cette vision, on observe que l’être recherche quelque chose qui est au-delà de ses perceptions :

*      Le corps sujet est le corps intégrant la partie intangible, animée et sensible d’un être considéré avec tout son mystère et sa sensibilité.

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Le corps sujet est le corps intégrant la partie intangible, animée et sensible d’un être considéré avec tout son mystère et sa sensibilité

Dans ce modèle, le corps (objet) prend en charge de révéler des informations sur le mystère de l'Être (sujet).

Quand le corps révèle l’être

L’anthropocentrisme et l’anthropomorphisme

L’animal sujet est et restera un mystère pour l’homme. On a beau se faire une idée de son fonctionnement mental, on souffre obligatoirement d’un biais anthropomorphique : on extrapole nos pensées, émotions et sensations à l’animal. On  infère. C’est bien sûr au-delà de l’inférence primaire (« un chameau est hautain » de par son port de tête), mais bien une modélisation sophistiquée.

Par exemple : dire qu’un chien est dominant parce qu’il a une série de critères dits de dominance nous permet de le modéliser dans notre vision du chien, mais cela ne dit rien sur le chien lui-même, sur ses sensations, émotions et pensées.

 

Le corps métaphore

C’est le sujet de la métaphysique des maladies. Les maladies ont un sens, un message, transmis par le corps à la Conscience. Suivant le lieu et le type de maladie, le message varie.

Les méridiens et leurs significations...

L’image du corps

L’image du corps est façonnée par l’esprit, le corps et l’ego.

Elle peut autant être une expression créative artistique qu’un mensonge organisé : habillage, maquillage, parfum, comportements...

A la recherche de l’autre

Puisque l’autre est perçu au travers des lunettes colorées de ma propre vision, je ne peux le percevoir tel qu’il est. C’est un travail actif et difficile que d’abandonner ses propres visions pour aller à la découverte de l’autre, de ses visions, de ses croyances ; c’est la base de l’empathie. Celle ci permet l’accueil de l’autre tel qu’il est (ou prétend être), et c’est un facteur important dans l’ouverture au changement. C’est donc, pour moi, un élément essentiel de la relation thérapeutique.

La parole et la chanson

La parole est une codification culturelle qui permet la transmission d’informations digitales au détriment des informations analogiques. Par exemple, le texte d’une chanson ou la partition de la musique ne donnent qu’une idée de la chanson.

Les relations entre personnes et animaux sont des chansons dont le décodage digital laisse un énorme vide que l’on cherche à combler par des inférences, des modèles, des croyances, des mensonges… Croire à l’élément digital ou croire aux inférences finissent par dénaturer la relation. La seule façon d’intégrer la relation dans sa totalité est de la vivre.

L’expérience se vit à travers le corps

L’homme a beau être un animal pensant, l’expérience ne se vit pas uniquement en pensée.

Si on désire apprendre à nager, lire un livre sur la natation et s’imaginer nager ne remplacent pas l’expérience de se jeter à l’eau.

Pour être vétérinaire comportementaliste, étudier les livres ne suffit pas ; il faut l’expérience du terrain, déjà apportée par l’observation en consultation et les jeux de rôle et, ensuite, par la supervision. Il faut vivre les sensations de la consultation pour intégrer l’expérience.

Il en est ainsi de toutes les expériences de vie.

 

 

Conclusions

Le thème ‘corps objet corps sujet’ est une question que chacun doit répondre pour soi-même. L’intérêt fut, pour moi, de revoir l’importance de l’autoréférence dans l’élaboration de sa vision, de ses croyances et d’ancrer que chacun a le droit a sa propre vision, j’espère, dans l’empathie et le respect de la vision des autres.

 

 

 


 

[1] http://fr.wikipedia.org/wiki/Sujet_%28philosophie%29#Autre_conception

[2] http://fr.wikipedia.org/wiki/Autrui

[3] http://sergecar.club.fr/cours/conscorps.htm

[4] La conscience est elle-même une sorte d’hologramme de l’Univers.

[5] http://sergecar.club.fr/cours/conscorps.htm

 

© Dr Joël Dehasse - www.joeldehasse.com 2007-10-14